15 à 20.000 personnes viennent admirer la Joconde chaque jour soit plus de 7 millions d'admirateurs par an. Le Louvre, premier musée français, compte 7,5 millions de visiteurs.
20.000
De 15 000 à 20 000 personnes viennent admirer la Joconde chaque jour au musée du Louvre à Paris.
Cela représente 7,3 millions d’admirateurs chaque année, c’est-à-dire une grande majorité des visiteurs du musée parisien.
15
À cause de la foule qui défile devant le tableau, chaque admirateur ne dispose que de 15 secondes en moyenne pour admirer le chef-d’œuvre de la renaissance acheté en 1518 par le roi François Ier.
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La Joconde est évidemment très surveillée, un des tableaux les plus sécurisés au monde : il y aurait en permanence six personnes pour surveiller le tableau qui est lui-même protégé derrière une épaisse vitrine dans une zone elle-même surveillée par des caméras de surveillance et à l’abri d’un caisson antivibration, anti humidité et isolant.
1519
Selon les historiens de l’art, Léonard de Vinci aurait commencé à peindre la Joconde en 1503 et l’aurait achevé en 1519.
COMPARER : la fréquentation du Louvre
"Peinte sur un mince support en bois de peuplier, demeuré très fragile -ce qui explique qu'elle soit aujourd'hui conservée dans une vitrine-, la Joconde est une réalisation exemplaire, grâce aux effets subtils de la lumière sur les chairs et au brio du paysage situé à l'arrière-plan du tableau. Le modelé du visage est étonnamment réaliste.
Léonard a exécuté ce tableau avec patience et virtuosité : après avoir préparé son panneau de bois avec plusieurs couches d'enduits, il a d'abord dessiné son motif directement sur le tableau lui-même, avant de le peindre à l'huile, additionnée d'essence très diluée, ce qui lui permet de poser d'innombrables couches de couleurs transparentes -que l'on appelle des glacis- et de revenir indéfiniment sur le modelé du visage.
Ces glacis, savamment travaillés, mettant en valeur les effets d'ombre et de lumière sur le visage, constituent ce que Léonard lui-même appelle le "sfumato". Cette technique permet une imitation parfaite des chairs, grâce à un traitement raffiné de la figure humaine plongée dans une demi-obscurité -le clair-obscur-, ce qui permet à Léonard de satisfaire ses préoccupations de réalisme."
source : les visages de la Joconde (www.puc-rio.br)
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