Nombre d'infarctus en France
Combien d'infarctus en France ?
En 2011, en France, 60 000 crises cardiaques ont été recensées, entraînant la mort de 2400 personnes.
En France, 30 % des décès sont d'origine cardiovasculaire. L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.
Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Publiée dans le prestigieux New England Journal of Medecine, qui lui consacre même son édito, elle a été menée sur 4.000 patients dans 19 pays européens. Elle a été réalisée par une équipe française, dirigée par le Pr Gilles Montalescot, cardiologue à l'Institut de Cardiologie, situé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, et président du groupe Action-Cœur.Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctusL'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. C'est un caillot qui bloque la circulation sanguine dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.La menace d'infarctus touche 200.000 personnes. Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.
Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Publiée dans le prestigieux New England Journal of Medecine, qui lui consacre même son édito, elle a été menée sur 4.000 patients dans 19 pays européens. Elle a été réalisée par une équipe française, dirigée par le Pr Gilles Montalescot, cardiologue à l'Institut de Cardiologie, situé à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, et président du groupe Action-Cœur.
Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctus
L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. C'est un caillot qui bloque la circulation sanguine dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.
La menace d'infarctus touche 200.000 personnes. Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.
En 2010, on mourrait deux fois moins qu'en 1995 en cas d'infarctus du myocarde mais l'accident survient à des âges plus précoces qu'alors.
Les personnes exposées au stress dans leur travail auraient un risque 23 % plus élevé que celles qui n'y sont pas exposées de faire un infarctus (arrêt cardiaque) : ce sont les résultats d'étude menée par des chercheurs de l'INSERM
Pour qu'une artère du cœur se bouche, il faut la conjonction de deux phénomènes: une lésion de la paroi de l'artère et la formation d'un caillot.
Dans le cas des personnes âgées, les lésions sont souvent grandes, notamment quand le système vasculaire a été détérioré par le tabac, le diabète, ou l'hypercholestérolémie, ou l'hypertension artérielle…) Les thromboses sont favorisées par ces consommations et sont à l'origine de plus de la moitié des infarctus surviennent chez des personnes de plus de 75 ans. Chez les moins de soixante ans, en revanche, ce n'est généralement pas la lésion des artères qui est la cause principale mais bien l'obstruction par un caillot.
La mortalité de l'infarctus, jusqu'au 30e jour qui suit, est en effet passée de 13,7% en 1995 à 4,4% en 2010. On pense parfois que le cap des 48 premières heures est le plus délicat mais, en réalité, on compte deux fois plus de décès entre le 3e et le 30e jour qui suivent l'infarctus que dans les deux premiers jours. Toutefois, cette mortalité «retardée» est aussi en baisse: de 10% en 1995 à 3% en 2010.
à l'hôpital, les trois quarts des patients bénéficient désormais d'une reperfusion en cas d'infarctus, 61% par angioplastie et 14% par une destruction médicamenteuse du caillot (fibrinolyse). En 1990, ce n'était le cas que pour la moitié des malades. Un progrès qui concerne aussi les patients de plus de 75 ans, lesquels représentent toujours la moitié des infarctus recensés: alors que seuls 5% d'entre eux bénéficiaient d'une reperfusion en 1995, ils sont aujourd'hui 54%.
60.000
En 2011, en France, 60 000 crises cardiaques ont été recensées, entraînant la mort de 2400 personnes.
30%
En France, 30 % des décès sont d'origine cardiovasculaire. L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.
200.000
Chaque année en France 200.000 personnes présentent un syndrome de menace d'infarctus. Autrement dit, la menace d'infarctus touche 200.000 personnes.
L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an.
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Les maladies cardio-vasculaires sont la première cause de mortalité sur le plan mondial.
Différence entre infarctus et syndrome de menace d'infarctus
L'infarctus ou crise cardiaque concerne 120.000 personnes par an. Il est provoqué par caillot qui bloque la circulation du sange dans une artère du cœur. Une zone du cœur peut être endommagée et l'infarctus peut être mortel.
Les signes prémonitoires qui annoncent qu'un infarctus peut survenir dans les jours ou les semaines suivantes sont des douleurs thoraciques principalement, et suffisamment importantes pour appeler le Samu ou aller à l'hôpital.
En 2010, on mourrait deux fois moins qu'en 1995 en cas d'infarctus du myocarde mais l'accident survient à des âges plus précoces qu'alors.
Les personnes exposées au stress dans leur travail auraient un risque 23 % plus élevé que celles qui n'y sont pas exposées de faire un infarctus (arrêt cardiaque) : ce sont les résultats d'étude menée par des chercheurs de l'INSERM
Pour qu'une artère du cœur se bouche, il faut la conjonction de deux phénomènes: une lésion de la paroi de l'artère et la formation d'un caillot.
Dans le cas des personnes âgées, les lésions sont souvent grandes, notamment quand le système vasculaire a été détérioré par le tabac, le diabète, ou l'hypercholestérolémie, ou l'hypertension artérielle…) Les thromboses sont favorisées par ces consommations et sont à l'origine de plus de la moitié des infarctus surviennent chez des personnes de plus de 75 ans. Chez les moins de soixante ans, en revanche, ce n'est généralement pas la lésion des artères qui est la cause principale mais bien l'obstruction par un caillot.
4.4%
La mortalité de l'infarctus, jusqu'au 30e jour qui suit, est en effet passée de 13,7% en 1995 à 4,4% en 2010. On pense parfois que le cap des 48 premières heures est le plus délicat mais, en réalité, on compte deux fois plus de décès entre le 3e et le 30e jour qui suivent l'infarctus que dans les deux premiers jours. Toutefois, cette mortalité «retardée» est aussi en baisse: de 10% en 1995 à 3% en 2010.
A l'hôpital, les trois quarts des patients bénéficient désormais d'une reperfusion en cas d'infarctus, 61% par angioplastie et 14% par une destruction médicamenteuse du caillot (fibrinolyse). En 1990, ce n'était le cas que pour la moitié des malades. Un progrès qui concerne aussi les patients de plus de 75 ans, lesquels représentent toujours la moitié des infarctus recensés: alors que seuls 5% d'entre eux bénéficiaient d'une reperfusion en 1995, ils sont aujourd'hui 54%.
Comment réduire le risque d'infarctus ?
Selon une étude suédoise réalisée entre 1997 et 2009 auprès de plus de 20 000 hommes de 45 à 79 ans, le simple fait de respecter les 5 comportements suivant permettrait de réduire de 79 % le risque d'infarctus.
Une alimentation saine, riche en fruits, légumes, noix, céréales complètes, graines et poissons, une consommation d’alcool modeste (1 à 3 verres par jour), pas de tabac, une activité physique régulière (au moins 40 minutes de marche ou de vélo par jour et 1 heure d’exercice par semaine), un tour de taille inférieur à 95 cm…
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