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Les ventes des produits bio représentent 254 euros par seconde en France (compteur). Cela représente un marché de la BIO de 8 milliards d'euros en 2017 (contre 3,3 mds en 2010 et 3,7 mds en 2012). La consommation progresse fortement mais la production de produits bio en France a du mal à suivre. C'est l'oeuf bio qui est le produit bio qui fonctionne le mieux avec 10% des ventes d'oeufs.
20%
La filière bio est en pleine forme en France depuis des années avec une croissance à deux chiffres : + 20 % en 2016 !
8 000 000 000
Selon une étude de la Coface, le chiffre d’affaires des produits alimentaires bio en France a atteint 8 milliards d’euros en 2017 en croissance de 13 %.
3
Cela situe le marché français du bio à la troisième place mondiale après les États-Unis (11 milliards) et l’Allemagne (9 milliards) mais devant la Chine et le Canada.
3,7 %
Selon une étude Précepta de 2017, le secteur du bio représentait 3,7 % du marché alimentaire global en 2018.
96 %
En revanche, les produits conventionnels non bio représentent 96 % des produits présents dans les réfrigérateurs des Français en 2018.
Selon l’étude de la Coface, « la consommation du bio augmente plus vite que l’offre depuis 2016 et la France a recommencé à importer ». En 2016, la France a importé plus de la moitié des produits d’épicerie, des boissons et des fruits bio, ainsi que un quart des légumes bio et 10 % des produits laitiers bio qu’elle a consommés. En revanche, avec 1 % d’importation, la France a été autosuffisante pour le vin bio et les œufs bio.
6,5 % / 1,77 M.
Les surfaces cultivées en bio dans l’Hexagone représentent 6,5 % de la surface agricole utile française (+15 % en 2017) et au total, 1,77 million d’hectares. L’objectif officiel du gouvernement est d’atteindre 15 % des surfaces agricoles en bio en 2022.
Les régions les plus avancés en agriculture biologique sont l’Occitanie (8000 agriculteurs, +%), Auvergne–Rhône-Alpes (5375 agriculteurs, + 12,7 %), Nouvelle Aquitaine (5316 exploitants, + 13,1 %). L’Île-de-France est la région la moins avancée en agriculture bio.
10 %
En 2018, les Français sont prêts à payer 10 % de plus pour acheter des produits made in France.
50 %
En 2017, la part des surfaces agricoles cultivées en bio représente 5,8 % (8 % en moyenne en Europe) et devraient atteindre 20 % dans la prochaine décennie. Certains experts parmi les plus optimistes envisagent d’arriver à 50 % en 2050.
En 2016, 260 1000 ha sont entrés en première année de conversion Bio et seront certifiés en 2018.
1 000 000 Hectares en bio en 2013
+70 %
Selon une étude menée par que choisir en 2017 auprès de 1518 magasins commercialisant des produits bio, la facture moyenne pour un même panier de courses bio est plus élevée de 70 % que pour un panier conventionnel de produits non bio. Or selon l’étude inca 3 de l’Anses, le critère du prix reste le premier critère de choix des ménages (48 %) devant l’origine du produit (36 %).
6.900.000.000 euros / 2016
Le chiffre d'affaires du bio en France en 2014
5 000 000 000 euros / 2014
(1 milliard en 2009)
Les produits laiti puis ers et oeufs, l'épicerie (thé, café, cacao), les fruits et légumes et le pain demeurent les produits bio les plus vendus.
26 500 producteurs bio (13 300 en 2008)
2,5 %
Les ventes de produits bio ont progressé de 9 % en 2013, à 4,35 milliards d'euros. Mais ces produits, issus d'une agriculture qui se veut respectueuse de l'environnement, ne représentent que 2,5 % du marché alimentaire global.
L'oeuf bio a la cote : l'oeuf bio, marqué d'un « 0 » sur la coquille s'est vendu encore mieux en 2013 : + 8,7 % alors que les ventes d'oeufs globales d'oeufs n'ont augmenté que de 2 %. Cette croissance faisait suite à celle de 6 %en 2012. Selon le Comité national pour la promotion de l'oeuf (CNPO), l'oeuf bio a atteint 10 % de parte de marché en volume etde 15% en valeur. Pour les fruits et légumes, le bio pèse 6%.
95%
95% des Français ont acheté au moins un produit BIO en 2013...
mais seul 1 Français sur 5 est prêt à payer plus cher pour du BIO.
En 2013, 95% des Français ont acheté du bio au moins une fois. Ces achats se font majoritairement en GMS (47% des parts de marché en valeur) .
26 500
En 2013 la filière bio compte plus de 26 500 producteurs. Ces entreprises emploient 60 % de main d’œuvre en plus que les exploitations conventionnelles. Quant au secteur de la transformation / distribution il compte plus de 12 600 entreprises en 2013 (source : Agence Bio).
Les valeurs portées par le bio sont au cœur des préoccupations des Français : sécurité alimentaire, santé, environnement… ce qui en fait un marché porteur (+4,8% de CA en 2013)
Les fraises en hiver et les oranges en été, même bio, n’ont pas la côte, 80% des consommateurs sont également très attentifs à la saisonnalité des produits (2013).
Alors que la morosité touche bon nombre de secteurs économiques, les ENTREPRISES bio résistent et défient la crise. C’est ce que montrait en 2012 l’indicateur conjoncturel du Synabio, (Syndicat des Entreprises Bio), qui regroupe 120 adhérents représentant plus de 250 marques de produits bio pour un chiffre d’affaires d’environ 1,5 milliards d’euros, soit environ 40 % des 4,17 milliards d’euros du marché bio en 2012 (Chiffre sAgence BIO).
+ 85%
C'est l'augmentation de + 85% de surfaces en agriculture biologique :depuis 2007. C’est à dire que le cap du million d’hectares cultivés a été franchi. Même si cela ne représente que 2,4% du marché français alimentaire, cette filière crée plus d’emplois que la filière conventionnelle.
L'agriculture biologique n'est plus un phénomène propre aux pays riches. En 2006, sur un plan mondial, elle représentait 31 millions d'hectares dans 120 pays et constituait un marché de 40 milliards de dollars.
« Osons la Bio » en la soutenant
Selon le cabinet Precepta, le marché des produits alimentaires bio devrait atteindre 3,70 milliards d'euros en 2012, soit 8% de plus qu'en 2008.
Entre 2008 et 2010, le nombre de produits bio sur le marché français a explosé : 1 595 nouveaux produits alimentaires et boissons mettant en avant un argument environnemental et éthique ont été commercialisés, soit 5 fois plus que de 2005 à 2007.
En 2010 le chiffre d’affaires des produits alimentaires bio a dépassé 3,3 milliards €, + 10 % sur 2009.
Selon Cegma Topo, 28% des consommatrices françaises utilisent un produit bio en 2010 mais une Française sur 3 peut refuser un produit bio à cause de son prix et une sur 4 à cause d'un doute sur son efficacité. D'où les efforts de consoGlobe pour expliquer mieux les qualités des produits bio et du côté prix, sur la livraison gratuite en relais colis et sur une politique de prix bas, régulièrement comparée à celle des hypers.
En 2009, les achats bio ont représenté 2,6 milliards d'euros soit 2% des achats, alors qu'ils en représentaient que 1,7% en 2008
Lagriculture biologique proscrit l'utilisation de tout produit phytosanitaire, additif chimique ou de pesticides et utilise des engrais ou répulsifs naturels.
L'agriculture biologique préserve la biodiversité en proposant des dizaines de variétés de courges ou de fromages sur les étals et en préservant les environnements dans lesquels sont dirigées les exploitations.
Elle induit le respect du consommateur, à qui l'on fournit un aliment de qualité, et du producteur qui, par les ventes directes notamment, maintient un prix de vente équitable qui lui permet de vivre décemment d'un métier qu'il pratique consciencieusement.
La France est à la traîne en Europe avec seulement 2% de ses surfaces agricoles cultivées en agriculture biologique; contre 5 à 9% en Allemagne, Italie et pays scandinaves.
D'après l'Agence bio, 3,2% des exploitations agricoles françaises se consacrent à cette filière, soit 670.000 hectares, dont 516.000 certifiés bio et 154.000 en conversion.
En 2009, chaque mois, 300 agriculteurs ont converti leur exploitation à la filière bio. Ils sont ainsi passés de 13.300 fin 2008 à 16.400 fin 2009, soit une croissance de 23%.
Les ventes des produits bio alimentaires avaient atteint 3 milliards d'euros en 2009, en hausse de 19% par rapport à 2008. Cela représentait alors 1,9% des achats alimentaires totaux.
Pourquoi ?
Parce-que l'agriculture intensive paraît très difficile à remplacer. Ainsi, le délégué général de la FNSEA déclarait le 2 octobre 2007 que "pour changer, il faut convaincre que le bio est l'avenir. Ce n'est pas compatible avec le rendement exigé par les cultures pour l'export ou les biocarburants".
La FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture), dans son rapport « Agriculture biologique et sécurité alimentaire », se livre à un véritable plaidoyer pour cette forme d'agriculture.
Ce rapport conforte les analyses de plus en plus nombreuses qui soulignent que l'agriculture biologique a un potentiel suffisant pour satisfaire la demande alimentaire mondiale. C'est aussi le cas de l'agriculture conventionnelle d'aujourd'hui, sauf que son impact sur l'environnement est plus grand et donc plus néfaste.
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