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Production de viande bovine dans le monde

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Production de viande bovine dans le monde

Infos complementaires
La viande bovine est la viande de l'espèce Bos taurus, plus couramment appelée boeuf, qui s'applique à la viande issue d'animaux différents de l'espèce (vache, taureau, taurillon, génisse ou boeuf), à l'exception du veau, pour lequel on parle plus de viande de veau.

Selon la FAO, plus de 66 millions de tonnes de viande bovine devraient être produites en 2010, soit plus de 2100 kilos par seconde (compteur). Les principaux producteurs mondiaux de viande bovine sont les États-Unis, le Brésil, l'union européenne suivie de la Chine et de l'Inde.

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La consommation de viande de boeuf dans le monde

 

 

 

 

 

Manger du boeuf

 

66 000 000 000 kilos / an

plus de 66 millions de tonnes de viande bovine devraient être produites en 2010

 

 

La viande bovine est la viande de l'espèce Bos taurus, plus couramment appelée bœuf, qui s'applique à la viande issue d'animaux différents de l'espèce (vache, taureau, taurillon, génisse ou bœuf), à l'exception du veau, pour lequel on parle plus de viande de veau.

 

Le marché mondial de la viande bovine a stagné en 2015 à cause du ralentissement économique global. La production de viande a globalement stagné mais le marché des bovins vivants, dont la France est un acteur majeur, est restée dynamique.

 

 

En 2015, les principaux producteurs mondiaux de viande bovine étaient :

–les États-Unis avec 10,70 millions de tonnes de viande

–le Brésil avec 8,79 Mt

–l'union européenne à 28 avec cette 7,72 millions de tonnes

 

 

 

Très apprécié, le steak haché est la viande la plus vendue : 70% des ménages en consomment. Or 170 tonnes de steaks hachés sont produites chaque semaine à partir de 2000 bovins dans le plus important abattoir du groupe Charal, soit 8800 tonnes par an !

 

Pour réduire la contribution de l'élevage au changement climatique, il est conseillé de réduire sa consommation de viande rouge (sans pour autant la proscrire) en privilégiant notamment les viandes blanches (volailles, porc) dont la production émet beaucoup moins de GES.

 

 

 

 viande

 

 

Les "disponibilités alimentaires" par habitant dans le monde seraient suffisantes en 2050 à en croire une étude de début 2010  de l'Inra et du Cirad (Centre de coopération internationale en recherche ergonomique) : à cet horizon, chaque habitant disposerait de 3000 calories par jour, dont 500 d'origine animale, contre 4000 actuellement dans les pays développés aujourd'hui, dont plus de 1000 issues de la viande ou du poisson. En 1970 la consommation de viande par habitant était de 25 kg par personne et est passé à 38 kg.

 

Selon l'International Erosion Control Association, qui surveille le "sur-élevage", la taille des élevages dans le monde atteignait 720 millions de têtes en 1950 pour atteindre 1.53 milliarrs en 2001, dont 230 millions en Afrique. C'est l'Inde qui a le plus grand cheptel mondial (283 millions) avant la Chine (130 M) et les USA (98 M.) en 2001.

 

ON n'a pas trouvé de statistiques mondiales plus récentes.

 

 

Le bétail dans le monde

 

Tout le bétail du monde en un coup d'oeil

 

 1 619 000 000 

En 2013 le cheptel mondial représentait  1.619 millions de têtes de bétail.

 

Tout le bétail du monde en un clin d'oeil

 

 

Le déclin de la production de viande bovine en 2009 - 2010

 

 

En 2009,  le cheptel mondial de bovins s’est maintenu au même niveau qu’en 2008, à l’image du troupeau indien, le premier dans la hiérarchie mondiale, et de la Chine. Le second  pays détenteur de bovins reste le Brésil ; avec une hausse de 2,5 % en un an, il a permis de 

compenser les baisses de cheptel enregistrées dans la plupart des autres pays.  

 

La production mondiale de viande bovine a diminué pour la seconde année consécutive (- 2,2 %) d’après les données de l’USDA. Une baisse a été observée dans les quatre principaux  pays producteurs de bovins : aux Etats-Unis, les effets de la décapitalisation entamée en 2007 

ont commencé à se faire sentir sur le niveau de production en 2009, avec des disponibilités en recul ; le Brésil est au contraire dans une phase de recapitalisation du cheptel et a ralenti ses abattages ; l’Union européenne a réduit sa production de jeunes bovins, qui n’a pu être compensée par la reprise des abattages de femelles ; la Chine enfin, après plusieurs années de hausse, a diminué sa production. Dans la zone océanique, où le troupeau laitier est plus important que le troupeau allaitant, les sécheresses répétitives ainsi que la mauvaise conjoncture sur le marché des produits laitiers ont contraint les éleveurs à décapitaliser leur cheptel et donc à réduire leurs disponibilités pour la production de viande bovine. 

 

 

 

COMPARER :  Nombre d’animaux tués pour fournir de la viande dans le monde

 

 

COMPARER : La consommation de poulets dans le monde

 

 

Le commerce de la viande bovine

 

 

En 2009, et pour la seconde année de suite, le commerce international de viande bovine a reculé d’environ 5 %. Deux raisons peuvent expliquer cette évolution : tout d’abord la crise financière, puis économique, qui a touché tous les pays, ensuite la baisse des disponibilités dans la majorité des pays producteurs.  

Le Brésil, premier exportateur de viande bovine, a enregistré un net recul de ses ventes, consécutif au repli de sa production. Ce repli a été effectif vers la quasi totalité de ses clients, exception faite de quelques pays africains (Algérie) ou asiatiques (Chine). Face à une 

production en augmentation et qui devait être écoulée, le gouvernement argentin a levé les contraintes sur les exportations : l’Argentine a ainsi développé ses ventes vers presque toutes les destinations.  

 

 

Pour l’Australie, les marchés à l’export représentent les débouchés pour environ deux tiers de la production. Outre les Etats-Unis, le marché asiatique s’est avéré une destination non négligeable : autour du Japon et de la Corée du Sud, divers pays se sont affirmés comme des 

clients importants. Toutefois, les exportations de l’Australie, comme de la Nouvelle-Zélande, ont  été limitées par la baisse de leur production.  

 

 

Les ventes américaines de viande bovine ont reculé en 2009 pour la première fois depuis 2004 et la fin de la crise liée à l’ESB. Le pays a été pénalisé par le taux de change de sa monnaie, notamment dans ses exportations vers ses deux proches voisins, le Canada et le Mexique.  

En revanche, l’appréciation du dollar américain par rapport à la monnaie australienne a permis  aux Etats-Unis de développer ses importations de viande bovine en 2009. L’Australie est ainsi  devenue le premier fournisseur des Etats-Unis, devant le Canada.

 

 

Les pays d’Asie sont restés de petits importateurs, en comparaison aux Etats-Unis, voire au Mexique, mais ils représentent des débouchés nouveaux et diversifiés : Vietnam, Indonés

 

 

En 2009,  le cheptel mondial de bovins s’est maintenu au même niveau qu’en 2008, à 
l’image du troupeau indien, le premier dans la hiérarchie mondiale, et de la Chine. Le second 
pays détenteur de bovins reste le Brésil ; avec une hausse de 2,5 % en un an, il a permis de 
compenser les baisses de cheptel enregistrées dans la plupart des autres pays.  
La production mondiale de viande bovine a diminué pour la seconde année consécutive 
(- 2,2 %) d’après les données de l’USDA. Une baisse a été observée dans les quatre principaux 
pays producteurs de bovins : aux Etats-Unis, les effets de la décapitalisation entamée en 2007 
ont commencé à se faire sentir sur le niveau de production en 2009, avec des disponibilités en 
recul ; le Brésil est au contraire dans une phase de recapitalisation du cheptel et a ralenti ses 
abattages ; l’Union européenne a réduit sa production de jeunes bovins, qui n’a pu être 
compensée par la reprise des abattages de femelles ; la Chine enfin, après plusieurs années de 
hausse, a diminué sa production. Dans la zone océanique, où le troupeau laitier est plus 
important que le troupeau allaitant, les sécheresses répétitives ainsi que la mauvaise 
conjoncture sur le marché des produits laitiers ont contraint les éleveurs à décapitaliser leur 
cheptel et donc à réduire leurs disponibilités pour la production de viande bovine. 
LES ECHANGES 
En 2009, et pour la seconde année de suite, le commerce international de viande bovine a 
reculé d’environ 5 %. Deux raisons peuvent expliquer cette évolution : tout d’abord la crise 
financière, puis économique, qui a touché tous les pays, ensuite la baisse des disponibilités 
dans la majorité des pays producteurs.  
Le Brésil, premier exportateur de viande bovine, a enregistré un net recul de ses ventes, 
consécutif au repli de sa production. Ce repli a été effectif vers la quasi totalité de ses clients, 
exception faite de quelques pays africains (Algérie) ou asiatiques (Chine). Face à une 
production en augmentation et qui devait être écoulée, le gouvernement argentin a levé les 
contraintes sur les exportations : l’Argentine a ainsi développé ses ventes vers presque toutes 
les destinations.  
Pour l’Australie, les marchés à l’export représentent les débouchés pour environ deux tiers de 
la production. Outre les Etats-Unis, le marché asiatique s’est avéré une destination non 
négligeable : autour du Japon et de la Corée du Sud, divers pays se sont affirmés comme des 
clients importants. Toutefois, les exportations de l’Australie, comme de la Nouvelle-Zélande, ont 
été limitées par la baisse de leur production.  
Les ventes américaines de viande bovine ont reculé en 2009 pour la première fois depuis 2004 
et la fin de la crise liée à l’ESB. Le pays a été pénalisé par le taux de change de sa monnaie, 
notamment dans ses exportations vers ses deux proches voisins, le Canada et le Mexique.  
En revanche, l’appréciation du dollar américain par rapport à la monnaie australienne a permis 
aux Etats-Unis de développer ses importations de viande bovine en 2009. L’Australie est ainsi 
devenue le premier fournisseur des Etats-Unis, devant le Canada.  
Les pays d’Asie sont restés de petits importateurs, en comparaison aux Etats-Unis, voire au 
Mexique, mais ils représentent des débouchés nouveaux et diversifiés : Vietnam, Indonés

 

 

 

 

 

 

Encylo-ecolo : la viande

 

 

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Repères

Satistiques mondiales
Elevage et viande

220
Viande et GES. La production d'un kilo de viande de veau rejette autant de GES qu'un trajet automobile de 220 km. Celle d'un kilo de bœuf équivaut, elle, à un trajet de 70 km

156 kg

 C’est la quantité moyenne de lait consommée dans les pays développés. 38 kg seulement dans les pays en développement.


> Choisir : lait standard ou lait bio ?
lait milk

 

16
La consommation en viande d’un Français cause la déforestation de 16 m2 en Amazonie. En effet, l’alimentation animale est fortement dépendante du soja, et, 74% du soja, dont une partie est OGM, provient du Brésil

145,9
Consommation
de viande. 145,9 kg C'est le record mondial de consommation de viande par personne par an. Ce sont les Danois qui mangent le plus de viande au monde et non les Américains, également gros mangeurs.




30 %
Elevage intensif
. L'élevage intensif de bovins occupe 30 % des surfaces émergée de la terre, les animaux laitiers et de boucherie représentent 20 % de toute la biomasse animale. Ce secteur est responsable de 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.



 

9,7%
Consommation
de viande. Entre 2007 et 2016, selon la FAO et l'OCDE, la production mondiale de viande devrait augmenter de 9,7 % pour le boeuf, de 18,5 % pour le porc et de 15,3 % pour le poulet. D'ici à 2050, la production de viande pourrait ainsi doubler !




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