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Consommation de gaz naturel en France en m3

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Consommation de gaz naturel en France en m3

Infos complementaires
6 pays totalisent plus de 50 % des importations de gaz naturel:
les États-Unis (11 %), l?Allemagne (9 %), le Japon (9 %), l?Italie (9 %), l?Ukraine (6 %) et la France (6 %)

La France consomme environ 40 milliards de m3 de gaz naturel chaque année, soit près de 1270 m3 par seconde !

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Consommation de gaz naturel en France

 

 

 

 

La fin du gaz naturel en France

 

 

Le gaz naturel représente près du quart de la consommation énergétique mondiale.  38 % de la consommation de gaz naturel en Europe - 30 % au niveau mondial - sont destinés au secteur résidentiel/tertiaire.

 

Environ 10%, soit 4 milliards de m3, de ce gaz naturel consommés en France proviennent d'Algérie.

 

Au niveau mondial, a fin du gaz est annoncé pour 2072.

 

La fin du gaz naturel

 


En 2020, l’Union Européenne ne produira qu’1/3 de ses besoins et dès 2030, elle sera dépendante à plus de 80 % de l’importation.

Les différents pays de l’Union Européenne offrent des degrés d’autonomie variables : tandis que les Pays-Bas sont autosuffisants pour de nombreuses années encore et que le Royaume-Uni (1er producteur européen) est devenu importateur, les grands pays européens consommateurs de gaz comme l’Allemagne, l’Italie, la France ou l’Espagne montrent un fort taux de dépendance.

 

 

Les pointes de consommation de gaz

La consommation française de gaz naturel a atteint des records historiques autour de 24 decembre 2009.  L'Europe, et la France en particulier, ont connu une vague de froid la plus forte depuis 10 ans. Le volume historique de consummation française de gaz naturel a été nettement dépassé pendant 2 journées consécutives les 6 et 7 janvier 2009 (+40 % par rapport à la même période de 2008). Le 7 janvier, la France a connu une pointe de consommation de 145 000 MW. Ce niveau n'avait jamais été atteint.

 

La concentration des ressources de gaz naturel dans le monde

 .

6 pays consomment 50 % du total mondial : les États-Unis (23 %), la Russie (15 %) suivis de loin par le Royaume-Uni, le Canada, l’Allemagne et l’Iran avec un peu plus de 3 % chacun.

6 pays totalisent plus de 50 % des importations : les États-Unis (11 %), l’Allemagne (9 %), le Japon (9 %), l’Italie (9 %), l’Ukraine (6 %) et la France (6 %).

 

Le biométhane et la biométhanisation en France

 

biométhane


Source : .science.gouv.fr, BP Statistical Review of world Energy 

 

 

 

 

Commentaires / Ajouts

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Message de : DE SAINT ROMAIN

Vous publiez des informations et des statistiques, c’est pourquoi je vous expose ici des sujets qui impactent gravement notre avenir commun, et les hérésies qui me semble les causer. On nous harcèle sur le gaspillage et sur notre consommation pour nous inciter à les réduire mais pour ces auteurs ce n’est qu’aux particuliers qui ont peu de marge de manœuvre de le faire quand bien même cela leur serait impossible. En effet pour l’énergie les règles qu’imposent les gouvernements sont incontournables et inutilement dépensières. L’économie du pays ne peut se le permettre, surtout en ce moment de coronavirus. Pour le fioul l’interdiction de remplacer une chaudière et la future interdiction (juin 2021) d’installer des chaudières à gaz dans les habitations neuves, avec l’incitation d’utiliser l’électricité pour le chauffage, est une aberration tant cela est un gaspillage d’énergie. L’autorisation récente d’équiper les logements neuf de convecteurs électriques va dans le même sens ! Physiquement pour chauffer avec de l’électricité il faut avoir produit cette électricité avec un combustible en quantité suffisante pour reproduire chez le consommateur à 100 % la chaleur qu’il aurait obtenu directement. Le rendement d’une centrale étant proche de 40 % avec des déperditions sur la ligne de distribution et la transformation ce rendement devient 0,40 x 0,9 x 0,95 = 34,2 %, pour avoir 100 % de la chaleur il faut donc utiliser 100 : 34 = 2,95 fois plus de carburant soit environ 3 fois ! L’utilisation de pompes à chaleur pour le chauffage rend cette situation un peu moins catastrophique mais pour cela le rendement de la pompe doit approcher 3, ce qui est rarement le cas faute de « source chaude » assez chaude. Les excuses du type « l’électricité est produite par l’énergie nucléaire » (aujourd’hui limitée et même réduite cf. l’arrêt de Fessenheim) sont totalement fallacieuses car chaque augmentation de la demande d’électricité est produite majoritairement par un combustible fossile. Les productions à partir des énergies dites renouvelables (hormis l’hydroélectricité et la géothermie) discontinues doivent êtres « secourues » par des centrales thermiques à combustibles lorsqu’elles sont à l’arrêt (environ les ¾ du temps). Pourquoi cela ne se ressent il pas sur le coût de l’électricité ? Les taxes TICPE (2/3 du prix final) imposées aux carburants sont très peu perçues sur les combustibles des centrales électriques, ce qui rend l’électricité approximativement au même prix ! Pour l’électrification de la propulsion des voitures le problème est le même avec une consommation accrue d’énergie primaire pour faire fonctionner les voitures. En effet l’électricité utilisable est produite par une centrale électrique thermique à combustible fossile, dont le rendement (à peu près le même que les moteurs thermique) est au mieux de 40 %. Pour aller jusqu’à la voiture, dans les lignes électriques il s’en perd environ 10 %. Le chargeur de batterie a un rendement de près de 95 %. La batterie restitue environ 90 % de l’énergie qu’elle a reçue lors de la charge. Le « convertisseur » associé au moteur électrique consomme encore 6 à 8 % du courant, soit pour le rendement global de la chaine : 40 x 0,9 x 0,95 x 0,9 x 0,92 = 28 % au maximum (sans prise en compte de la récupération au freinage). Comparé au rendement de près de 40 % d’un véhicule diesel, il y a tout le moins, perte d’énergie ! Un calcul simple montre (40-28) / 28 = 42 % qu’il faut produire environ 45 % d’électricité en plus donc utiliser plus de carburant que s’il était utilisé directement pour faire circuler une voiture électrique. (l’ADEME, par note de nov. 93, donne des rendements pour toute la chaine bien inférieurs) Pourquoi en est on arrivé la ? C’est le résultat de l’activisme des Escrologistes qui outre leur déclinisme ont convaincu par un harcèlement répétitif que le CO2 est néfaste au climat. Malgré ses rapports successifs le GIEC, cet aréopage qui se targue d’un consensus scientifique, n’a jamais prouvé l’effet nuisible du CO2 qu’il affirme, et même il ignore les principes de base de la Physique (voir « laphysiqueduclimat.fr »). Un consensus est de la convergence d’idées entre personnes qui peuvent même être scientifiques et traiter de sujets scientifique, mais ce n’est pas de la science ! La science c’est un ensemble de connaissances physiques, chimiques, médicales, astronomiques ou autre établies depuis suffisamment longtemps pour constater qu’elles correspondent aux faits, même si ces connaissances n’empêchent pas les discussions sur leurs validités. Cependant pour les mêmes rêves et l’idéologie (sur une base fausse) de lutte contre le réchauffement climatique par la réduction des rejets de CO2 les politiques misent sur la propulsion à l’hydrogène. Cette énergie n’est pas disponible naturellement et doit être produite. Actuellement l’hydrogène est produit à plus de 98 % à partir du méthane pour un coût trois fois supérieur à son équivalent énergétique du pétrole. Pour les 2% restants, en partie produit par électrolyse (utilisant le courant des centrales électriques) le coût monte à près de six fois. Malgré les recherches depuis un siècle et des annonces de réussite, aujourd’hui aucune autre méthode de production n’a été trouvée. Si ce carburant était utilisé directement dans les moteurs thermiques actuels il ne résoudrait pas les effets de recombinaison de l’azote liés à la température, c’est pourquoi la technologie de production directe d’électricité avec de l’hydrogène dans une pile à combustible est choisie pour motoriser les voitures, lesquelles de ce fait sont installées dans des voitures de base électriques. (Une pile à combustible produit du courant en faisant se rencontrer de l’hydrogène et l’oxygène de l’air entre deux électrodes qui l’une capte et l’autre fournit des électrons en même temps que ces deux gaz se recombinent en eau.) Cependant l’électricité produite par les générateurs utilisant les énergies dites renouvelables qui sont très aléatoires, décalées temporellement avec la consommation générale pourrait être utilisée à de l’électrolyse à seule fin de produire de l’hydrogène (qui peut être stocké) au lieu d’interférer avec la production d’électricité nationale. Cela ne justifiera néanmoins jamais les subventions aux éoliennes ni aux panneaux photovoltaïques qui ne sont qu’un transfert des coûts sur tout le monde au lieu d’être supportés par les utilisateurs et qui pèsent sur l’économie. Afin d’améliorer la balance des paiements de notre pays en réduisant nos importations de pétrole il faut réserver l’électricité aux usages de motorisation ou de consommation industrielle ou domestique ou à l’éclairage urbain mais l’interdire au chauffage fixe ou à la propulsion automobile,. Il est difficile d’aller à contre courant de l’idée « politiquement correcte » mais faire savoir la vérité est l’honneur de ceux qui l’osent. Pour connaître le fonctionnement de notre planète et voir l’effet des gaz dits à effet de serre, consulter le site « laphysiqueduclimat.fr » est instructif et disculpe totalement le CO2 de l’effet qu’on lui prête. Les efforts de chasse au CO2 qui sont très coûteux en sus de peser sur l’économie organisent et mènent celle-ci dans une impasse. L’Occident ne doit plus poursuivre sa récession en courant après des chimères.



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