Coût des embouteillages dans le monde
Les embouteillages en voiture pour l'U.E
120 000 000 000 euros / an
Selon une étude menée par Greencove en 2009, les embouteillages coûtent 120 milliards d'euros à l'économie européenne chaque année !
A partir de l'étude de trillions (mille milliards) de données brutes sur la circulation, INRIX, fournisseur mondial d'informations trafic, d'itinéraires et d'aide à la conduite, a analysé les informations de plus d'un million de kilomètres d'autoroutes et de routes en Europe. Les embouteillages ont augmenté chaque trimestre de 6 % en moyenne entre le début du mois de mars et la fin du mois de décembre 2013.
COMPARER : les embouteillages en France
Les embouteillages dans le monde
3 400 000 000 €
D’ici à 2030, les embouteillages couteront 3 400 milliards d’euros aux économies occidentales. Le coût des embouteillages augmentera le plus fortement au Royaume-Unis (+63 %) et aux États-Unis (+50 %), la France et l’Allemagne restant dans un modeste +31 %. En ce qui concerne les villes, Londres verra le coût des embouteillages grimper de 71 % (de 6,5 milliards à 11,2 milliards d’euros), suivi par Los Angeles avec un augmentation de 65 % (de 17,8 Mds à 29,5 Mds), puis Paris : +60 % (9 Mds à 14,4 Mds), et enfin Stuttgart : +34 % (2,5 Mds à 3,2 Mds). Signalons que les automobilistes français sont et resteront ceux qui perdent le plus de temps dans les embouteillages – 135,8 heures en 2013 et 143,6 heures prévues en 2030
Pourtant, le coût des embouteillages va exploser à 3 400 milliards d’euros pour les économies occidentales.
Le coût des embouteillages augmentera le plus fortement au Royaume-Unis (+63 %) et aux États-Unis (+50 %),contre + 31% pour la France et l’Allemagne
143.6 heures
Les automobilistes français vont continuer à perdre le plus de temps dans les embouteillages – 135,8 heures en 2013 et 143,6 heures prévues en 2030
> L'indice Inrix montrait un recul de 15 % de l’engorgement du trafic, dans le monde entier en 2011
Les embouteillages dans les villes :
Londres verra le coût des embouteillages grimper de 71 % (de 6,5 milliards à 11,2 milliards d’euros),
Los Angeles à + 65 % (de 17,8 Mds à 29,5 Mds),
Paris : +60 % (9 Mds à 14,4 Mds),
Stuttgart : +34 % (2,5 Mds à 3,2 Mds).
Plus de bouchons = meilleure activité économique
Parmi les 13 nations européennes étudiées, les plus touchées par la crise sont également celles où l’engorgement de la circulation a le plus reculé. C’est au Portugal (-44 %), en Irlande (-25 %), en Espagne (-15 %) et en Italie (-18 %) que le recul a été le plus prononcé l’an passé. Mais les difficultés que traverse la zone Euro ont également alimenté la réduction de l’engorgement de la circulation dans des économies considérées comme les plus fortes d’Europe : Allemagne (-8 %), Pays-Bas (-7 %) et Belgique (-3 %). L’encombrement du trafic routier est en revanche resté stable en France, entre 2010 et 2011 (à peine +1 %).
58 heures
Le Belgique reste la championne européenne du nombre d'heures perdues dans les bouchons en 2013, avec une moyenne annuelle de 58 heures (inchangée par rapport à 2012), devant les Pays-Bas (44 heures, soit 7 heures de moins qu'en 2012), l'Allemagne (35 heures, une de moins qu'en 2012), la France (35 heures, 2 de moins qu'en 2012), le Luxembourg (31 heures, 3 de plus qu'en 2012), le Royaume-Uni (29 heures, une de plus qu'en 2012) ou l'Italie (24 heures, 3 de plus qu'en 2012).
Combien de temps les automobilistes ont-ils passé dans la circulation ?
Bruxelles et Anvers sont les villes les plus touchées par les embouteillages avec une moyenne de 72 h perdues par an dans les embouteillages. Le relevé statistique indique que le pire moment pour se trouver sur la route en Belgique est la tranche 16h – 17h du vendredi à Anvers. Sur cette période, parcourir un trajet prend en moyenne 40 % plus longtemps que lorsque la circulation est fluide. En moyenne, la Belgique a eu un Index INRIX1 de 21 : cela signifie qu’un trajet moyen sur les principaux axes routiers du pays est parcouru en moyenne en 21 % plus longtemps aux heures de pointe que lorsque la circulation est fluide.
À propos du relevé statistique du trafic d’INRIX
Le relevé statistique du trafic d’INRIX mesure de manière exclusive le problème de l’encombrement du trafic dans le pays en dépassant les limites classiques des capteurs routiers et des techniques d’échantillonnage statistique en analysant les données remontées en temps réel par des véhicules parcourant effectivement les principaux axes routiers de Belgique. Des détails complémentaires sur la congestion du trafic en Belgique et sur sa comparaison avec la situation d’autres pays, ainsi qu’une synthèse générale des résultats de l’étude, sont disponibles à l’adresse scorecard.inrix.com. L’intégralité des données utilisées pour la production du relevé statistique d’INRIX est accessible sous licence pour analyse et étude complémentaires par les organismes publics et les entreprises.
Les paramètres pris en compte sont nombreux : l’évolution du taux de possession d’un véhicule, supposée passer en France de 30,8 millions de véhicules à 35 millions, la croissance du PIB, par exemple 25% de croissance en France en 17 ans, la croissance de la population, de 64 millions à 72 millions en France, etc. L’hypothèse retenue et celle d’un retour de la croissance dans les économies occidentales, sans rupture technologique ni écologique ni historique – comme une guerre ou une catastrophe globale.
> Gratuit - le Guide complet
« Guide consommer moins en conduisant mieux » (pdf 23 pages)
source : Etude Inrix publiée mardi 4 mars 2014, 21 octobre 2014
Le dossier écomobilité
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Statistiques mondiales transport